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ZlAtAn60
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Re: Robaggio... A bon entendeur...

Message par ZlAtAn60 » jeu. 27 mai 2010 23:39

Moi aussi je redoutais ce message mais bon vu les delais entre les post je me doutais que tu allais arèté c dommage j'adorai ta story ! :144: pour ça je te rends un grand hommage pour une des meilleurs story du forum, l'histoire était passionnante du début a la fin avec des rebondissement a tout va ( en italie comme au brésil) . J'espère que tu va en refaire une nouvelle d'ici peu :wink:


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franceSCOpsg
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Re: Robaggio... A bon entendeur...

Message par franceSCOpsg » mer. 15 déc. 2010 12:06

Storie replacée dans cette section à la demande de l'auteur.


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Robaggio
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Re: Robaggio... A bon entendeur...

Message par Robaggio » jeu. 16 déc. 2010 17:02

Note de l'auteur: je reprends donc cette story que je n'ai jamais vraiment réussi à quitter. Pour que l'ensemble reste cohérent, il convient pour toi lecteur de décaler le tout début de cette story quelques années plus tôt, afin que les chapitres qui vont suivre puissent prendre place en 2010 sans trop souffrir de l'anachronisme difficilement dissimulable dans ce genre de manipulation.
L'histoire reprend donc à la fin de la cinquième saison du coach Roby Robaggio à la tête de l'Estudiantes de La Plata, à l'été 2010...



RETOUR AUX SOURCES

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Cinq ans déjà… Le temps passé en Argentine était passé si vite. Cinq ans de bonheur. L’Estudiantes de la Plata était ce qui m’était arrivé de mieux dans ma carrière. Quel club extraordinaire… Durant cinq saisons, j’avais lié mon destin au sien, pour le meilleur comme pour le pire.

Je me souviens de mes débuts, plus que poussifs à la tête des rouge et blancs. Arrivé en cours d’exercice à la tête d’une équipe sclérosée par des dissensions internes, j’avais d’extrême justesse réussi à éviter le ridicule d’une relégation. Oscar Lagos mon président, m’avait envers et contre tous, maintenu à mon poste, persuadé qu’il était que j’étais l’homme de la situation. Et puis… la mayonnaise a fini par prendre, tout doucement, séance d’entrainement après séance d’entrainement, match après match, déplacement après déplacement, l’Estudiantes avait retrouvé ses lettres de noblesse pour devenir une des terreurs d’Amérique du sud. Il y a deux ans, la Copa Libertadores, il y a quelques semaines le titre de champion d’Argentine qui nous avait fui depuis si longtemps…

Au pays des gauchos, j’étais devenu une star, et à la Plata, une icône. J’avais tout gagné et j’étais le premier entraineur français à connaitre un tel succès ici outre Atlantique, et ici on m’avait donné le chouette surnom de Trézécoach, petit clin d’œil à ce magnifique buteur qui malgré ses origines avait choisi de porter le maillot bleu flanqué du coq.

J’étais, sur le plan professionnel, comblé. Mais cinq ans dans le même club, dans le football contemporain, c’est déjà un beau score, et n’étant pas différent de la majorité de mes homologues, une douce lassitude a commencé à m’envelopper. L’Europe, la France, l’Italie de ma Giana commençaient à sérieusement me manquer. Je peux dire que le mal du pays se faisait de plus en plus présent, et je commençais sérieusement à lorgner sur d’éventuelles équipes à qui j’aurais pu proposer mes services…

Giana avec qui j’étais marié depuis trois ans maintenant, désirait tout autant, si ce n’était plus, ce retour en Europe. Deux fausses couches et un diagnostique plus que pessimiste des médecins sur la possibilité pour elle de me donner un enfant avaient provoqué une fêlure en elle. Son enthousiasme légendaire et sa joie de vivre s’étaient ternis, et son magnifique sourire illuminait de moins en moins souvent son beau visage.

Enfin son père, l’emblématique Luigi Blasi avait appris l’an passé qu’il souffrait d’un cancer, et les différents traitements qu’il s’infligeait ne faisaient pour le moment pas reculer la maladie. Giana, et c’était bien compréhensible, voulait se rapprocher de son père pour lui apporter son soutien dans le combat qu’il menait très courageusement.

Je fis donc part à Lagos de mon envie d’ailleurs, qu’après avoir tout gagné avec l’Estudiantes, je voulais repartir en Europe pour y tenter ma chance, relever un nouveau challenge et me rapprocher de ma famille. Le président m’avoua que mon envie d’ailleurs l’attristait beaucoup, mais qu’il la comprenait et qu’il ne s’y opposerait pas…

J’entrepris donc de me trouver un point de chute en adéquation avec mon expérience et mon palmarès mais force fut de constater que ma notoriété et mes exploits n’avaient pas reçu les mêmes échos en Europe. Mes envois de CV spontanés à l’ensemble des clubs qui me faisaient envie ne reçurent que très peu très peu de réponses, et toutes pour la plupart furent négatives. En général on me répondait poliment, quand on me répondait, que les besoins du club étaient comblés mais qu’on ne manquerait pas d’étudier ma candidature si le poste se libérait, ce qui somme toute, était assez logique.

Seule la Juventus de Turin a commencé à pousser plus en avant les discussions, mais très vite, deux ou trois membres du conseil d’administration ont mis leur véto à ma venue, jugeant que je n’avais, ni de près, ni de loin, les épaules pour prendre en main l’avenir de la vieille dame.
Je reçu en revanche, un courrier du nouveau promu en Ligue 1, Arles Avignon, qui voulait me rencontrer pour voir si éventuellement, il était envisageable qu’une collaboration entre le club et moi voit le jour… Je n’ai pas donné suite. J’aurais peut-être du parce que mes propositions d’avenir se sont arrêtées là.

Un peu frustré, j’ai donc arrêté les frais pour le moment. J’ai bouclé les affaires courantes, vendu notre appartement, et fait mes adieux à la Tierra de Campeones et à ses merveilleux supporters qui resteront à jamais gravés dans la rubrique de mes meilleurs souvenirs. L’ovation fut poignante et les cadeaux nombreux. Emu, ma petite larme a coulé. Longue vie donc à l’Estudiantes, puisse leur règne footballistique sur l’Argentine et l’Amérique du sud être éternels…

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En attendant de reprendre ma recherche d’emploi, nous partons Giana et moi pour Taranto afin de rendre visite à son père. Luigi Blasi, afin d’avoir les mains libres pour lutter contre son cancer a quitté ses fonctions au Taranto Sport. Enfin il les a quitté officiellement, parce qu’en coulisse, Blasi a gardé tout son poids dans les décisions prises au club.

En route donc pour les Pouilles, ses cités délabrées, sa pègre, son stade…
http://www.youtube.com/watch?v=4IKS6L0zRcg[/video]

Blasi est affaibli, il n’est plus aussi alerte qu’à l’époque où il m’avait engagé pour me faire faire mes premiers pas dans le monde du football, mais le président qu’il y a en lui n’a rien perdu de son énergie. Lorsque nous arrivons chez lui, il s’est mis sur son 31 pour nous recevoir et montrer à sa fille que son papa est toujours de la partie. Mais la pharmacie et les appareillages médicaux qui ont envahis sa demeure font bien vite tomber les illusions, et bien qu’il ne veuille rien montrer, mon beau père est très loin d’être au mieux de sa forme.
Giana s’éclipsera de temps en temps pour laisser couler discrètement son chagrin, tandis que moi, j’essaie de jouer le jeu et de faire comme si de rien n’était.

Parlons football !

Blasi s’anime dès qu’il lui faut évoquer son club de toujours, le Taranto Sport, mais là, c’est la colère qui le transcende. Son club depuis mon départ, n’a cessé de régresser, aucun coach n’a réussi à maintenir le club à flots depuis mon départ pour la Turquie. Taranto n’a du coup pas fait illusion très longtemps en Série B, ses meilleurs éléments, les Cejas, les Ruoppolo, les Zoko ont tous pris la poudre d’escampette, et le club s’est finalement retrouvé à la case départ, nageant dans l’anonymat de la Lega Pro D1, sans réelle perspective de développement. Même les investisseurs ont quitté le navire et le projet d’agrandissement du Stadio Erasmo Iacovone est parti aux oubliettes, le chantier ayant été abandonné quelques semaines après son ouverture.
Les caisses ne sont pas vides, mais on est loin des fastes, toutes proportions gardées, d’il y a quelques années.
Seuls les tifosi sont restés, mais saison après saison, leur frustration va grandissante, et les incidents ces dernières années ont tendance à se multiplier, les meneurs poussant leurs sbires à toujours aller plus loin dans la provocation et la gravité de leurs actes. Blasi sait que la paix sociale ne reviendra qu’avec des résultats mais pour l’instant, une prochaine bonne saison n’est absolument pas garantie.

De la bouche de Blasi, son successeur Enzo d’Addario est plein de bonne volonté, mais il a trop de recul pour un club comme Taranto qui nécessite une implication de tous les instants. Mon beau père souffre de cette situation, et dans ses yeux ne transpire qu’une aspiration, retrouver la santé pour reprendre seul les commandes de son club de toujours.

Nous en venons ensuite à parler de moi, de mes cinq ans en Argentine, de la sélection ivoirienne avec laquelle j’ai pris mes distances et de Giana qui ne va pas bien en ce moment, et à qui j’aimerais faire retrouver le sourire.
Bref, ces retrouvailles sont chargées d’émotion, mais bien que nous soyons en été, le soleil ne brille pas sur Taranto…

Un peu nostalgique de mes années passées ici, je ne résiste pas longtemps aux sirènes de Iacovone, et quelques jours seulement après notre arrivée, je vais, tel un fantôme, hanter le stade de mes débuts et le camp d’entrainement… Mes vacances commencent, mais celles des joueurs sont terminées et je vais, comme le supporter lambda, assister à quelques séances d’entrainement.

Les employés, les cadres et les tifosi de Taranto me reconnaissent, certains me demandent même un petit autographe ou une photo. J’ai laissé ma trace ici, et tous semblent contents de me voir, tous ont un petit mot sympa à mon endroit, ou envers celui de leur président de cœur…
Cette ambiance me manque, d’autant plus que mes recherches d’une nouvelle équipe à entrainer restent au point mort. Pas la moindre éclaircie dans mon horizon professionnel, quedal. Si ça continue, je ferai comme ce bon à rien de Domenech, j’irai entrainer des cadets pour le fun.

Je n’y ai pas fait attention tout de suite, mais ma présence dans le paysage de Taranto n’est pas passé inaperçu. Les discussions de comptoir vont bon train et certains comme à dresser des plans sur la comète si bien qu’au bout de quelques jours, la ville se met à fabuler sur l’objet véritable de ma présence à Taranto. La gazette locale en fait même son gros titre :

« Le champion d’Argentine au chevet des RossoBlu. Robaggio sur le point de resigner au Taranto Sport ! »

La ville ne parle plus que de cela, et mon téléphone se remet à sonner frénétiquement. Les médias, les amis, et dès que je sors en ville tout le monde vient vers moi pour me demander si tout ceci n’est qu’un rêve… ou pas.
Je nie tout en bloc, demandant à chacun de garder son calme et de ne pas croire tout ce qu’on peut raconter à mon sujet. J’essaie de ne pas trop faire attention à ces rumeurs et de poursuivre mes petites vacances comme elles avaient débuté, dans la simplicité…

Mais le mal est fait. Alors que je vais comme j’en ai pris l’habitude, assister à l’entrainement des RossoBlu, je suis surpris par le monde réuni dans la tribune du terrain d’entrainement. Plusieurs sections de la cuva nord sont massées sur les gradins et alors que je m’approche du terrain pour saluer quelques vieilles connaissances…

http://www.youtube.com/watch?v=ZpXL6OtNeFQ[/video]

Touché… pendant quelques secondes, je reste pantois. Les tifosi sont venus me saluer et m’accueillent avec cette marseillaise revisitée, qui avait vu le jour lors de la belle épopée qui, quelques années auparavant, nous avait vu nous ouvrir en grand les portes de la Séria B.
Emu, je m’en vais aux pieds de la tribune pour saluer tous ces gens qui ne m’ont pas oublié, et partage avec eux ce moment très fort pour moi émotionnellement.
J’aimerai bien leur dire qu’ils me manquent aussi, mais à cet instant les mots me manquent. Je les applaudis à mon tour et les salue de la main pendant que fusent des « Roby reviens », « Robaggio à Taranto », et d’autres slogans plus flatteurs les uns que les autres.
C’en est presque gênant pour l’entraineur qui essaie, dans cette ambiance de match, de donner ses instructions à l’équipe. Sans trop tarder je m’éclipse et part chercher Giana pour faire un peu de shopping.

Le soir autour de la table, Blasi ne parle que de l’épisode de l’entrainement qu’une bonne âme a jugé bon de lui rapporter. Il refait avec un enthousiasme qu’on lui croyait perdu certains des plus beaux matchs de « l’ère Robaggio » comme il aime à l’appeler, et, bien que ce soit un vieux briscard, sur ce coup là je le vois venir à 20000… j’attends patiemment que beau papa lâche le morceau.

-Roby, ça t’as déjà effleuré l’esprit de revenir à Taranto ? Enfin je veux dire en tant que coach ?

-A vrai dire pas vraiment. J’adore ce club qui m’a beaucoup apporté, mais avec mon expérience, maintenant, je pense que je peux aspirer à travailler à un plus haut niveau, enfin sans vouloir paraître prétentieux.

-Mais si aucune opportunité ne se présente ? Soyons clairs hein, j’espère que tu vas être sollicité par les plus grands mais si ça n’arrive pas ? Tu vas faire quoi ? Tu pourrais par exemple reprendre l’équipe en attendant mieux non ?

-Euh enfin il y a déjà un coach en place non, ce ne serait pas très…

-Rah c’est un détail ça, je l’aime pas ce coach, il me gave, c’est un intégriste du catenaccio et notre défense est une vrai passoire. On n’a pas vu de beau jeu à Iacovone depuis des lustres, tout le monde me remerciera si je le dégage.

-Bah j’en sais rien en fait, c’est vrai que les propositions ne se bousculent pas mais je n’ai jamais réfléchi à celle là.

Au bout de la table, Giana ne perdait pas une miette de la discussion. Je n’avais même pas besoin de la sonder sur le sujet, rien qu’à la regarder, je savais ce qu’elle en pensait. Poser nos valises à Taranto était de loin l’éventualité qui la satisferait le plus, elle pourrait rester près de son père tout en me voyant travailler, bref pour elle, ce serait la meilleure équation.

-Ecoute Roby, tu as vu comme la ville s’attends à ce que tu reprennes l’équipe ? Tu as vu l’accueil que les tifosi t’ont fait cet après-midi ? Réfléchis-y, d’ici deux semaines, si tu n’as aucune touche sérieuse, on en reparle. Moi de mon côté, je prépare tout pour ton retour si jamais le Barça ne t’as pas appelé.
Et il éclate de son rire si caractéristique, avant d’être pris d’une subite quinte de toux…

Les deux semaines s’écoulèrent sans que rien ne se passe dans mon agenda professionnel. Deux semaines où l’idée de reprendre du service au Taranto fit son chemin. Giana m’avoua que ce choix serait pour elle un véritable soulagement, pendant que les journaux locaux s’enflammaient sur mon probable retour…
Au bout du compte, le choix s’imposa à moi. Taranto me voulais, et sans doute, même si mon égo m’empêchais de le dire aussi clairement, je la voulais aussi. Prêt à repartir au mastic dans les limbes des championnats inférieurs du calcio, je donne mon accord à Blasi qui, avec Enzo d’Addario, officialisent mon arrivée, poussant sans ménagement vers la sortie, mon prédécesseur.

Si on m’avait dit un jour que je reprendrais mon histoire d’amour avec Taranto, je ne l’aurais pas cru. Mais la vie de coach est ainsi faite. Espérons juste que ce nouveau chapitre sera aussi beau que l’originel.

En attendant de le savoir, j’enfile non sans une certaine jubilation, mon nouveau survêtement du Taranto Sport, et pars, en ce lundi matin ensoleillé, diriger ma première séance d’entrainement, le cœur léger, braillant dans ma voiture cette si belle Marseillaise RossoBlu…
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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par Bloorane » jeu. 16 déc. 2010 17:44

Alors ca...c'est un super cadeau de noel que tu nous fait la !

J'ai adoré cette story, et j'avoue avoir été déçu quand tu l'a stoppé. Et j'm'attendais pas a ce que tu la ramène d'entre les morts !

Impatient de revoir Roby, Gianna et Luca Blasil : )


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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par dragao57 » jeu. 16 déc. 2010 17:57

A enfin un retour de SUPER ROBAGGIO :107: . Sa fait plaisir de revoir que la story la plus palpitante du forum va reprendre.
Vivement qu'on retrouve cette bonne vieille histoire qui nous a tant manquer.
MERCI ROBAGGIO !!! :hooo:


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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par Cali » jeu. 16 déc. 2010 21:51

Mon dieu que cela est mal!!!! Mon petit Robby, va falloir que je ressorte le Fc Nono des décombres pour te faire de la concurrence.

En tout cas c'est une bonne nouvelle de te revoir dans les parages, parce que ça fait plaisir de te revoir et puis ça va peut être relancer le nombre de commentaire des stories.


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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par xanxus60 » ven. 17 déc. 2010 23:47

Robby est de retour!! :107: je pensais pas du tout que tu allais reprendre, c'est parfait. De plus un retour a Taranto Sport le club qui t'a révélé, avec des tifosis en délire, la presse déchainer pour ton retour, et un Blasi convaincant pour te faire revenir, tout comme ça fille. Je suis :wink:


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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par ricard33 » sam. 18 déc. 2010 1:03

Robaggio is back !!!!! super !!!!!! Vivement la suite !!
la vie est une danse qui se danse qu'une fois , accompagnons la de la plus belle des musiques


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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par Cantona » sam. 18 déc. 2010 15:31

Cool de te revoir par ici, surtout pour un tel retour aux racines! Impatient de voir la suite.
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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par JimmyEatWorld » dim. 19 déc. 2010 13:05

Depuis le début je me demande comment tu as ces images et surtout les images de Giana :17:


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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par Robaggio » dim. 19 déc. 2010 13:26

Merci à tous pour vos gentils messages, ça fait chaud au coeur.

@Jimmy: le travail d'illustration prend beaucoup beaucoup de temps. Il faut chercher et chercher sans cesse le cliché qui colle le mieux au texte.
Quant à Giana, nombre des afficionados des afficheurs de bonnasses du fofo ont deviné par qui elle était incarnée ;)
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oxyde
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Re: Robaggio... Retour aux sources...

Message par oxyde » lun. 20 déc. 2010 15:35

+1 Un vrai cadeau de noël que tu nous fais !!

Lire l'histoire me suffirais, j'en oublie même fm :hooo:

Impatient de voir la suite ! Giana :120:


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