"Dieu et mon droit"
Les plus habiles d'entre vous auront, je n'en doute pas, reconnu là la célèbre devise de l'Angleterre, en français dans le texte. Cette terre des Angles, modelées par les invasions qui se succédèrent - danois, normands, angevins - révèle son caractère dans sa devise. D'abord Dieu. Dieu, c'est celui qui, par-delà les cieux, voit, entend, et comprend tout. Un personnage surnaturel indispensable en somme. Il peut punir de la main gauche et pardonner de la droite. Il peut... Bon, je vais m'arrêter là , avant de devenir trop évangélisateur. C'est pas mon rôle, et puis Dieu, m'voilà , c'est pas trop mon domaine, encore moins ma passion. Désolé, je ne vais pas à l'église tous les dimanches pour m'entretenir avec le divin. En même temps, pourquoi le ferais-je, puisque je peux parler à Kyle McLaughlin quand bon me semble ? Il me suffit alors d'allumer mon ordinateur, et de lancer FM.
C'est beau, n'est-ce pas ?
Et mon droit, c'est de continuer de vous faire partager cette saison, la 28e. À moins qu'il ne soit question de mon [bras] droit, bien plus musclé que le gauche par un petit jeu que vous connaissez tous, à n'en pas douter. Quoique, y'a des enfants retardés ici
On commence directement par les
regens, puisqu'en dehors de deux prêts de joueurs U19, il n'y a eu
aucun mouvement important pendant le mercato.
Une cuvée loin du niveau de l'an passé.
Pas de Gerrard cette année, mais bon, ça peut pas être tous les jours non plus, un joueur pareil.
Jacob Hitchen
Un jeune défenseur central qui possède déjà de bonnes notes sur les attributs capitaux. Quoique, j'ai pas été vérifié
Stephen Hart
Un MC, assez moyen d'ailleurs. J'y croit moins que mon adjoint.
Andy Clark
Un autre MC, mais moins bon encore.
Ça ne casse pas trois pattes à un canard cette saison. Tant pis, j'espère qu'
Hitchen percera au moins.
Passons sans plus attendre aux résultats. Pour rappel, nous étions encore engagés dans toutes les compétitions auxquelles nous participions.
Et on démarre avec la
Capital One Cup. Bonne nouvelle, j'ai retrouvé le nom de mon adversaire en demi-finale : ce sera
Arsenal.
Courte
défaite à l'aller, mais le format particulier de la compétition permet à mes titulaires de rattraper la petite boulette de leurs cadets. Nous sommes en
finale. Qui se jouera contre le rival des
Gunners,
Tottenham.
2 buts de MacDonald dans le premier quart d'heure nous assurent le titre.
Tottenham n'est jamais parvenu à nous inquiéter le moins du monde, et le score aurait pu être plus important que cela.
La
FA Cup échappe Ã
Fylde depuis
2031. Est-ce que ce sera encore le cas cette saison ?
En tout cas, au terme d'un très beau parcours,
nous atteignons encore une fois
la finale.
United et
Arsenal se sont dressés sur notre route et nous ont posé pas mal de soucis, sans conséquences heureusement. En finale, on affrontera
Bradford, club du haut de tableau.
Bon, bah ça s'est pas vu. 4-0 en une demi-heure, le match était plié. Ça fait
6-1 à l'arrivée, et encore, parce que
Josimar a eu pitié de Bradford.
On passe à la
Barclays Premier League. Pour rappel, on possédait 6 points d'avance sur notre plus proche poursuivant,
Leicester.
Avec une phase retour pareille, je ne vois pas ce qui pourrait nous priver d'un
7e titre de champion d'Angleterre. On notera tout particulièrement le
9-0 contre
Swansea, et surtout, l'immense déculottée,
6-0, infligée à Manchester United ! On arrache un nul
4-4 contre Nottingham Forrest, en étant mené 4-1. Seule ombre au tableau : la
défaite sans panache concédée face Ã
Newcastle.
Un bilan de
16V, 3N, 1D. Très très propre.
C'est donc logiquement que nous conservons notre titre, avec une saison dans la lignée de la précédente : nous avons été incroyables.
United, auteur d'une belle deuxième partie d'exercice, hérite de la
2e place, et c'est
Bradford qui complète le podium.
Leicester, 4e avant la dernière journée, est le dindon de la farce.
Arsenal, même en 2042,
termine à sa place favorite.
Liverpool et
City se sont finalement sauvés.
On aura marqué
122 buts, un peu moins que l'an dernier. Pour
34 encaissés, en progrès.
La musique de la
Ligue des Champions commence à résonner au creux de mes oreilles. Entendez-vous aussi les appels de cette douce sirène ?
8ème de Finale - PSV Eindhoven
Le
PSV, ça me connait. On les avait affronté à plusieurs reprises avec
Armagh, avec plus ou moins de succès d'ailleurs. Les néerlandais sont joueurs, attention au piège : ils pourraient bien nous couper la barbe sous le pied
Et voilà , ça commence bien. Le
PSV ouvre le score très tôt dans le match. Et nous, on court après la marque,
sans parvenir à inscrire le moindre but, malgré les quelques occasions franches qu'on s'est procurées.
Regrets il y a sur cette rencontre. En plus, la règle des buts à l'extérieur ne risque pas de nous être favorable.
Au match retour, on hésite d'abord entre l'attaque et la prudence. Mais
Larentowicz ouvre le score et remet les équipe sur un pied d'égalité. Ça ne durera pas longtemps, puisque le
PSV égalise sur le renvoi. À ce moment, on doit marquer deux fois pour se qualifier, à cause des ces putains de buts à l'extérieur.
Pavey nous redonne l'avantage au retour des vestiaires, mais ce n'est pas suffisant. Alors qu'on approche du terme du match,
Larentowicz y va de son doublé. Et comme tout à l'heure, on encaisse un but sur le coup d'envoi, à croire que mes joueurs n'ont pas retenu la leçon. Pas le temps de tergiverser,
Tedesco marque et nous qualifie finalement ! Mais
ce fut dur de se sortir de ce piège.
Quart de Finale - FC Bayern Munich
Le
Bayern est intemporel est demeure toujours le
Bayern, un gros club, avec des individualités offensives hors normes, tels
Kukoc ou
Maier. Va falloir que ma défense, qui n'est pas moins point fort, serre les fesses, si elle ne veut pas se faire enculer.
J'ai failli exploser mon téléphone, qui se trouvait trop près de mes mains lors de mon élan de rage qui a suivi cet
enfumage arbitral.
Josimar et
Chandler, mes deux DC, me donnent rapidement un avantage de deux buts, sur coup de pied arrêté.
Maier réduit certes le score avant la mi-temps, sur une belle action individuelle. On subit en 2e, mais
McArdle réalise véritablement des miracles dans ses cages. Et puis, l'arbitre siffle une
faute de Josimar sur Kukoc, alors que le dit
Josimar se trouvait à 3m de l'autre danseuse. Et puis, alors qu'on se dirigeait vers un 2-2, l'arbitre de mes deux siffle un
2e pénalty, tout aussi
imaginaire que le 1er.
Kukoc transforme, et on l'a bien dans le cul. Ça m'emmerde, malgré les deux buts marqués, car le
Bayern est une équipe très forte.
La réponse à l'arbitre s'est faite sur le terrain.
Le boss, c'est Fylde, point barre. Quand il n'y a pas de décisions litigieuses, le
Bayern n'existe pas. Mes
3 attaquants de classe mondiale se sont fait un malin plaisir de plier les choses, d'une belle et harmonieuse manière. Quand on joue comme ça, personne ne peut rien contre nous. Nous étions intouchable au
Stade McLaughlin.
Demi-Finale - Manchester United FC
United, tenant du titre, pour une
demi-finale 100% anglaise. On venait à l'époque de leur infliger un cinglant
6-0 en championnat, qui nous adjugeait par la même le titre de
champion d'Angleterre. Nul doute que les mancuniens avaient à coeur de se venger de cet affront.
Le match commence bien mal. Sur une touche longue,
McArdle se troue et dévie le ballon dans ses propres buts.
United est devant. Heureusement, Ã force de combat,
Tedesco, puis
Lowe, sur penalty, nous donnent un avantage définitif, auquel
McArdle participe par ses parades en 2e mi-temps. Ainsi, il se rattrape un peu de son erreur.
Un très bon match retour, dans un
Stade McLaughlin comble, archi comble. Une superbe ambiance, avec des fans déchainés, parmi lesquels
Missille,
fortement alcoolisé, aperçu en train de faire un doigt d'honneur aux mancuniens, en compagnie de Labitmol,
qui leur faisait en plus une démonstration d'hélicobite des plus outrageante En ce qui concerne
Lucien,
il aurait été aperçu se dirigeant vers les toilettes en compagnie de 5 jeunes filles, et n'aurait ainsi pas assisté au coup de sifflet final
Bref, on est en finale !
Finale - AS Roma
Et pour la
première finale de Ligue des Champions de son histoire, l'
AFC Fylde affrontera la grande
Roma, championne d'Italie. Un choc de titans, que vous aurez l'honneur et le privilège de suivre...
au prochain post !
On termine par un rapide coup d'oeil aux
récompenses des joueurs. Je n'aborde pas leur notation aujourd'hui.
Larentowicz en feu.
Tedesco aussi.
D'ailleurs, il termine
meilleur buteur pour la 4e fois.
Upton devance tous ses concurrents nord-irlandais.
L'équipe-type de BPL ressemble à la mienne. Comme c'est étrange !
Et moi ?
Et voilà , sur ce, l'heure est venue de se quitter. Fylde domine outrageusement l'Angleterre, mais pourra-t-il asseoir sa domination sur le toit de l'Europe ? Voilà tout l'enjeu du prochain post. On se retrouve d'ici la semaine prochaine, avec, au sommaire : les notes des joueurs, les sous-sous, et surtout, la grande finale de la Ligue des Champions, qui opposera l'AS Roma à l'AFC Fylde, au Millenium Stadium de Cardiff.