Wasyl : Ouais mais j'ai le mérite de ne pas avoir ragequitté pour rejouer les matches, donc ça va
Segmann : Un pote mignon ? Ahah idiot, j'ai pas de potes !
...euh...
BlackRabbit : Wow, un commentaire positif, je ne sais pas comment réagir
predator : Que veux-tu, tout a une fin
Salut à tous, confrères FMistes. J'ai du mal à croire ce que j'écris, et pourtant, c'est bien vrai : ceci est le post final de "
Loozar refait le con sur FM".
Pour conclure en beauté ce RdP, j'ai décidé de faire un dernier post "bilan", qui résumerait les étapes importantes de ma carrière. C'est non sans une petite dose de nostalgie que je vous invite à revisiter, ensemble, les plus beaux fails...je veux dire, les meilleurs moments de ce récit.
Prenez des écouteurs, mettez-vous bien. On y va.
Oui j'aime beaucoup la bande-son de ce jeu
La carrière de Rocky Siffredo débute le
1er mai 2015, par une nomination à la tête de
Al-Khoyol FC, en deuxième division libanaise. Immédiatement, les plus racistes d'entre vous ont vu là une occasion de faire des vannes sur les arabes, alors que les plus puceaux d'entre vous en ont profité pour parler de Mia Khalifa. Rien d'inhabituel sur ce forum quoi
Le début d'une aventure.
A l'époque, Khoyol était dans le ventre mou du classement, ne jouait ni la montée, ni le maintien, et n'avait donc rien de bien excitant à nous montrer. Parfait pour un petit début de carrière tranquillou, histoire de prendre de la bouteille.
Et le petit début de carrière tranquillou...s'est vite transformé en départ CANON quand, dés la saison suivante, Khoyol remporta le championnat de D2 et accèda à l'Élite libanaise.
Cette réussite quasi-immédiate était pleine de promesses pour l'avenir. Mais les espoirs furent vite réduits à néant : en D1, Al-Khoyol se fit bolosser de tous les cotés, et repartit en D2 pour ruminer sur son manque de préparation...
A la surprise générale, Rocky Siffredo conserva son poste d'entraineur de Khoyol, les dirigeants estimant que le maintien était tout simplement au-dessus de nos forces. Rocky ne le savait pas encore, mais cette relégation allait le suivre jusqu'à la fin de sa carrière, en particulier lors des entretiens d'embauche...
Pour son retour en deuxième division, les Étalons étaient prêts à tout défoncer, et à remonter immédiatement, si possible avec un nouveau titre en poche. Mais entre temps, l'équipe est devenue méconnaissable...
Après un semestre catastrophique, et très en-dessous des attentes de début de saison, Rocky Siffredo est
renvoyé de Al-Khoyol. On a connu plus "tranquillou" comme début de carrière...
~~Ce qu'on retiendra~~
Deux choses me resteront de ce passage au Liban : le titre, et Mustapha Hallaq.
Mon attaquant palestinien était la dernière valeur sûre dans cette équipe qui m'a fait ragé plus d'une fois. A la fin de sa carrière, il n'a pas souhaité se reconvertir. Mais merci quand même, mon vieux.
~~Et aujourd'hui ?~~
26 ans plus tard, Khoyol est toujours au même point. Le club aura connu quelques promotions et quelques relégations, mais il ne s'est ni transcendé, ni effondré. L'apport de Rocky Siffredo à cette équipe n'est finalement pas plus marquant que celui des quelques blaireaux qui ont été embauchés après lui.
Quelques jours à peine après son renvoi, Rocky Siffredo est sollicité par
Labasa, club fidjien.
Et entrainer aux Fidji, c'est vraiment un boulot de planqués : pas de relégation, les joueurs ne touchent aucun salaire, les erreurs n'ont aucune conséquence...parfait pour un mec qui n'a rien à perdre (et rien à gagner non plus).
Cela dit, faut pas déconner : on m'a quand même refilé le pire club du championnat
Et pourtant, les premières années, ça ne se passait pas si mal. Labasa finissait constamment en milieu de tableau, et j'avais parfois droit à des victoires surprises sur les gros poissons du championnat. J'emmagasinais de l'expèrience, et je ne m'en sortais pas si mal.
Le VRAI délire commença en 2021, quand je remportai le
Championnat Interdistrict et la
Battle of the Giants, deux des quatre compétitions annuelles aux Fidji. A partir de là, Labasa était entré dans une autre dimension.
Souvenirs souvenirs...
La confirmation vint l'année d'après, en 2022, où les Babasiga Lions remportèrent le championnat lors de la dernière journée. Histoire de peaufiner le travail.
Si la saison 2023 se termina sans titre, il n'empêche que le mandat de Rocky Siffredo fut fructueux, et que je pouvais être satisfait de ce que j'avais accompli ici. Mine de rien, j'avais pris du galon en une demi-douzaine d'année.
Mais six ans, c'est beaucoup, et après avoir pris de l'expérience, Rocky eut envie de changer d'air...
~~Ce qu'on retiendra~~
Mon passage aux Fidji m'aura amené trois titres ; mais ça n'aurait peut-être pas été ainsi sans Sheikar Rao et Jone Kalou.
Le premier était un ailier inarrêtable avec de bonnes qualités de centre. Le deuxième était un serial buteur, né pour pousser des ballons dans des filets. Ensemble, ils ont cumulés assez de buts et de passes décisives pour marquer à jamais l'histoire du club.
~~Et aujourd'hui ?~~
Après mon départ, Labasa est redevenue une équipe bordélique, oscillant entre le bon et le moins bon. Cependant, entre 2024 et 2032, un entraineur nommé Pene Esaeli remporta 3 trophées avec Labasa, et leur offrit un mini "Age d'Or".
Depuis, rien d'inhabituel.
Rocky Siffredo voulait changer d'air, il n'aura pas été déçu. En 2023, le jeune entraineur de 29 ans débarque en
Jamaïque, quasiment aux antipodes de sa précédente escale.
Et le club qu'il prend en main...n'existe pas. Il s'agit de
Freetown, en 2e division jamaïcaine. Vu qu'ils n'avaient pas de logo, je leur en avais fait un :
Mon objectif à l'époque était de monter en première division. C'était parfaitement réalisable car mon équipe n'était pas dégueulasse, mais en Jamaïque, le système de promotion est complètement PÉTÉ.
En gros, tu as 4 groupes, et à la fin de la saison, les leaders de chaque groupe s'affrontent de sorte à ce que seulement 2 parmi les quatre équipes montent en D1. Ce système bidon permet à des équipes de deuxième division de conserver leur titre d'une année à l'autre.
Et c'est EXACTEMENT ce qu'il s'est passé à Freetown. En 2026, 2027 et 2028, Rocky empoche
3 titres de champion de D2 jamaïcaine d'affilée, mais devra attendre le 3e essai pour enfin passer les barrages et monter en D1
C'était quand même kiffant de toujours botter les mêmes culs en boucle
Après ça, je me suis confronté à un défi que je n'avais pas pu surmonter au Liban : me maintenir en D1. Heureusement, Freetown avait le niveau pour tenir le coup, et après trois années supplémentaires à finir en milieu de tableau, le constat était clair : Rocky Siffredo avait réussi à installer Freetown parmi l'Élite. Mission accomplie
Dernier classement avant mon départ : une 6e place. Plus haut classement de l'histoire du club, à l'époque.
Ce passage en Jamaïque fut donc une réussite : Rocky aura constamment tiré son club vers le haut, et lui aura amené quelques titres bien mérités. Mais putain...HUIT ANS ! J'ai passé huit putain d'années en Jamaïque !
Déjà que six ans, c'est beaucoup, limite TROP
à ne surtout pas sortir de son contexte, merci, mais alors HUIT FUCKING ANNÉES !!!
Heureusement, entre temps, j'ai eu d'autres responsabilités, qui m'ont permi de ne pas tourner en rond...
~~Ce qu'on retiendra~~
Ces huit années auront été marquées par l'ascension du club, qui fut lente mais pleine de réussite. Et UN joueur m'aura fait particulièrement kiffé durant cette période...
Romaine FUCKING Blake. Une LEGENDE putain. Je ne devrais même pas avoir à le présenter. Vous devriez TOUS le connaitre. Vous devriez TOUS l'aimer. Vous devriez TOUS vous branler en pensant à lui. En tout cas, moi, c'est ce que je fais. Rien à foutre de Mandy Muse ou de Mia Khalifa, moi, quand je bande, je le fais pour l'HONNEUR.
L'autre joueur qui m'a marqué n'était pas particulièrement bon, mais ses débuts furent si prometteurs que je pense ne m'être jamais autant enthousiasmé pour un regen :
Pablo Staple, à qui j'ai dédié de très nombreux montages bidons. Sa gueule me sert actuellement d'avatar sur un forum RP. C'était l'info qui sert à rien mais qui est rigolotte.
~~Et aujourd'hui ?~~
Après mon départ, Freetown a connu un petit passage à vide et même une relégation. Mais le club est immédiatement remonté, et est aujourd'hui une des meilleures équipes de Jamaïque.
L'impact de Rocky Siffredo se fait clairement ressentir : non seulement je fais partie des "légendes", mais en plus, j'ai un stade à mon nom
Dans les mémoires des supporters fictifs de Freetown, je resterai celui qui a fait monter l'équipe d'un cran.
Maintenant que j'écris ces lignes, je me rends compte que le vrai tournant de ma carrière, il a peut-être eu lieu ici, en Jamaïque...
Entre temps, Rocky Siffredo a connu sa première expèrience internationale en se voyant proposer l'équipe du
Nigéria ! C'est avec cette équipe que je devais disputer ma première Coupe du Monde, mais notre
CAN 2029 fut catastrophique, et vous savez tous comment ça a fini...
Bref, pas envie de m'étendre outre mesure là-dessus, je vous ai déjà fait 3 beaux posts rien que pour ça, cf le sommaire
Après son long séjour en Jamaïque, Rocky arrive en Europe, plus précisément à
Ilukstes, en D2 lettone.
Cette fois, c'est une vraie dégringolade. Rocky part d'un club solidement installé en première division jamaïcaine et en très bonne forme financière, à un club qui peine à joindre les deux bouts aussi bien sportivement que financièrement.
Heureusement, dés la première année, Rocky arrive à sauver le club de la relégation :
Et ce n'est que le début. Car la saison suivante, à la STUPEUR générale, Ilukstes remporte carrément le championnat !
Il n'aura fallu que deux ans à Rocky pour amortir la chute imminente de son club, et le faire repartir de l'avant. Ce succès express et inattendu attire tous les regards vers l'entraineur franco-italien, qui se voit réclamé par plusieurs clubs étrangers, et qui finit par céder au chant des sirènes, à peine un an et demi après son arrivé en Lettonie...
~~Ce qu'on retiendra~~
Pas grand chose car je ne suis pas resté ici très longtemps...
~~Et aujourd'hui ?~~
Rocky Siffredo a laissé le club livré à lui-même, et c'est sans grande surprise que Ilukstes s'est fait bolosser une fois en D1. Depuis, le club fait son petit bout de chemin tranquille en D2. Rien d'extraordinaire à signaler.
Au même moment, de l'autre coté de l'Atlantique, Rocky Siffredo se voit confié les rennes de l'équipe du Costa Rica de football. L'équipe qu'on m'a refilé n'est objectivement pas mauvaise, ce qui est surprenant étant donné ma précédente expèrience à la tête d'une sélection nationale...
D'emblée, mon premier défi est de faire bonne figure à la
Coupe du Monde 2030. Parce que quitte à commencer fort, autant VRAIMENT commencer fort.
Le fail fut conséquent, mais les dirigeant n'en tinrent pas compte. Selon eux, le groupe était impossible à franchir pour une équipe comme nous. Et même si c'est vrai...cette première Coupe du Monde a pas mal calmé mes ardeurs
impossible de bander pendant au moins 10 minutes après ça.
Et pourtant, j'étais loin de ma douter qu'à partir de là, les Ticos allaient connaitre une poussée d'adrénaline historique, et que j'en serais le principal protagoniste...
Quelques mois après la Coupe du Monde, Rocky empoche son premier titre international. Il ne s'agit "que" d'une Coupe UNCAF, certes, mais c'est une première étape. Et surtout, elle me permet de me rassurer : non, mon équipe n'est pas en decrépitude, elle est toujours capable de chercher un résultat là où on l'attend.
L'année d'après, en revanche, la Costa Rica va chercher le succès là où PERSONNE ne l'attendait...
La
Gold Cup est le trophée le plus prestigieux d'Amérique du Nord, et jusqu'à présent, les Etats-Unis et le Mexique étaient les seules équipes crédibles de cette compet'. Mais le Costa Rica est venu foutre un coup de pied dans la fourmilière, et s'offrir un petit moment d'éternité, en ce soir de juillet 2031.
Ce sacre que personne n'attendait est probablement le point culminant de ma carrière, et un de mes meilleurs moments dans ce RdP.
L'excitation retombe, et le niveau de jeu des Ticos connait une légère déterioration en 2032. On remporte la coupe UNCAF, mais on a failli passer à la trappe plus d'une fois.
Qu'à cela ne tienne, nous sommes re-qualifiés pour la Gold Cup...
...mais l'édition 2033 est déjà moins flamboyante. On se fait surprendre en demi-finale par la Jamaïque, alors qu'on avait une place en finale qui nous tendait les bras.
Certes, aller dans le dernier carré est plus qu'honorable, surtout pour nous...mais au vu de ce qu'on a fait avant, ça a presque un arrière-goût de déception
Cette deuxième Gold Cup m'a fait comprendre que le Costa Rica allait être sur une pente descendante, et qu'il était temps de se barrer. Mais pas avant d'avoir pris une ultime vengeance personnelle...
Aisément qualifiés pour la
Coupe du Monde 2034, les Ticos réussiront l'exploit de sortir de leur groupe, qui comporte pourtant la Colombie et l'Italie. Le "
hasard de la composition des groupes" ne nous fera pas de cadeau, et on se cassera les dents contre l'Allemagne dés les 8e de finale. Mais je suis satisfait d'avoir réussi à franchir un cap.
C'est la tête pleine de bons souvenirs, et le CV plein de nouveaux titres, que Rocky Siffredo démissionne de son poste à la tête du Costa Rica après la Coupe du Monde 2034...
...pour se consacrer à
l'Ironi Tibériade, club de 2e division israélienne.
Ma nomination à la tête de ce club vous a fait vivement réagir, j'ai cru pendant un moment que j'étais sur le forum de Egalité & Réconciliation. Je vous aime, bande de fils de pute.
Mais l'annonce, qui a fait l'effet d'une bombe, fut suivie de performances qui firent l'effet d'un claque-doigt. Si Tibériade était loin d'être mauvais, il n'avait pas les épaules pour accrocher une place pour la 1ere division.
Pendant 3 ans, j'ai tutoyé le haut du tableau sans jamais percer le plafond de verre qu me séparait du Nirvana. Pas assez bons pour connaitre le goût de la consécration, pas assez mauvais pour que ça en devienne drôle, Tibériade est resté coincé dans cet espèce d'intervalle ennuyeux, où il ne passe rien de marquant
Ironiquement
-sans mauvais jeu de mots-, malgré les résultats acceptables, ce fut la partie de ma carrière qui m'a le plus déçu.
~~Ce qu'on retiendra~~
Une personne ne m'a pas déçu, en revanche, et cette personne, c'est Marian Daescu. Mon jeune attaquant roumain aura ciré le banc pendant un long moment, mais une fois sur la pelouse, il a fait souffrir plus d'un gardien...
Le bougre n'est pas encore parti à la retraite, et je pense qu'il pourra encore pomper un sérieux nombre d'années avant de rendre son chasuble. D'ailleurs sa carrière ne se porte pas si mal.
~~Et aujourd'hui ?~~
Tiberiade a connu une petite baisse de forme après mon départ, mais rien de grave. En revanche, j'ai eu un impact indirect sur cette équipe : Aziz Mousse, un milieu de terrain que j'ai fait venir, est aujourd'hui une légende du club.
A part ça, rien d'affolant.
En 2035, mes vieux démons ont refait surface. Et par "
vieux démons" j'entends "
l'envie de gagner le championnat de Hongrie que j'ai eu la flemme de gagner avec Balamzujvaros sur mon précédent RdP".
Rocky Siffredo prend la tête du
MTK Budapest, un des meilleurs clubs de Hongrie, qui, à l'époque, traversait une période de vache maigre. Tu le sens là, le scénario digne des meilleurs films hollywoodiens ? Tu le sens, le retour de la gloire passée ? Tu le sens le remake avec Dominic Purcell dans le rôle de l'entraineur ?
Dés la première année sous mes ordres, le MTK renoue avec une vieille habitude qu'il avait perdu : se qualifier pour les compétitions européennes.
Rien d'exceptionnel, mais ça montre qu'on est sur la bonne voie.
Un an plus tard, l'effectif se montre de mieux en mieux huilé. Notre travail acharné commence à porter ses fruits : le MTK remporte la
Coupe de Hongrie 2037.
En parallèle, nos performances sur la scène continentale sont pas mauvaises, sans être surprenantes. Mais au moins, elles nous permettent de faire le plein de pognon une fois par an.
Après une saison 2037/2038 sans titre, le MTK entre dans une période faste...
TROIS
CHAMPIONNATS
CONSECUTIFS
Je pense pouvoir affirmer qu'il s'agit de la période la plus INTENSE de ce récit. Trois titres de champion de Hongrie, 2 participations à la Ligue des Champions (dont une où on n'est pas passé loin d'un miracle, mais où on s'est fait sortir par l'Olympiakos), des finances qui explosent, une popularité qui grimpe en flèche, et même le niveau du championnat qui se réhausse subitement...
...y'a pas à tortiller : la période 2038-2041 fut la plus couronnée de succès de ma carrière.
Et surtout, ENFIN, j'avais réussi à m'installer sur le toit de la Hongrie.
J'y suis arrivé, Balmaz.
J'ai vaincu.
Tu peux dormir sur tes deux oreilles.
C'est aussi durant cette période que j'ai franchi un cap symbolique : celui des
1000 rencontres disputées.
Et c'est là que j'ai réalisé que...beh, ma carrière représente un beau morceau, que le plus gros est peut-être passé, et qu'il serait temps de se faire plaisir...
~~Ce qu'on retiendra~~
Le MTK aura connu 5 titres sont mon égide : une Coupe de Hongrie, une Super-Coupe, et 3 championnat. Mais le plus important, c'est qu'il aura connu une génération de joueurs qui resteront dans les mémoires des supporters pour de nombreuses années...
J'aurais encore pu en citer d'autres : Lazslo Borsos, Tamas Dabasi, Remus Marin, Norbert Budai, Guychel Kawaya...mais pour des soucis de place, j'ai décidé de me cantonner à ces trois-là, qui sont, à mon sens, ceux qui méritent le plus le statut de légende du club.
~~Et aujourd'hui ?~~
Pas grand chose à dire là-dessus, puisqu'on a déjà fait le bilan il y a quelques semaines.
Cette carrière n'aurait pas été complète sans faire un petit tour par la France d'abord, et c'est
l'ESTAC qui, pour cette saison 2041-2042, aura le priviliège de connaitre les dernières heures de la carrière de Rocky Siffredo.
Cette ultime expèrience n'avait évidemment qu'un seul but : flatter mon ego avec une victoire facile et prévisible en Ligue 2, histoire de partir à le retraite en ayant la sensation d'avoir été bon.
Voilà, un titre en plus dans mon escarcelle !
"
Se faire plaisir", c'est le cas de le dire.
Quelques mois avant de quitter le MTK, Rocky Siffredo s'est vu offrir la possibilité de coacher la
Croatie. Si la possibilité d'un engagement sur le long terme n'était déjà plus d'actualité, celle d'un dernier tour de force, elle, était envisageable...
On n'oublie pas les bails : pour inaugurer mon élection à la tête de la sélection au damier, je me fais gentiment victimiser à la
Ligue des Nations 2040.
Mais comme je tiens absolument à finir sur une note à peu près positive, j'ai décidé de prendre ma revanche. Dans un premier temps, j'ai bolossé les Pays-Bas lors des qualifs pour la Coupe du Monde 2042...
Et dans un second temps beh...
la Coupe du Monde 2042 :
Un quart de finale de Coupe du Monde, y'a pas à dire, on a vu pire comme pot de départ
Et c'est ainsi que s'acheva ma carrière...
*******************************
Voilà. On y est. C'est maintenant que ce RdP prend fin, et avec lui se termine la carrière de Rocky Siffredo, ainsi que la plus belle partie que j'ai jamais joué sur FM.
Il y a un an et demi, dans la soirée du 30 aout 2016, je donnais naissance à ce récit. Je ne pensais pas en faire un gros truc, je pensais même qu'il allait finir comme le précédent. Mais c'était fun d'exhiber mes délires footballistiques à de sinistres inconnus, et au fil du temps, j'ai pris du plaisir à écrire ce récit. Au final, je m'y suis beaucoup plus impliqué que je ne le pensais.
Entre temps, il s'est passé plusieurs choses dans ma vie, et ce RdP est devenu témoin indirect des 18 mois qui viennent de s'écouler. Même si FM et la vie réelle, ça n'a rien à voir, j'ai quelques bons souvenirs qui remontent quand je relis certains posts
Aujourd'hui, je suis un peu lassé de FM, j'ai besoin de prendre une pause. Ça me permettra d'avoir enfin le temps de lire VOS récits, mais surtout, de passer à autre chose.
Enfin bref. Vous, les lecteurs, avez été une composante importante de ce récit. Vous n'êtes qu'une bande de connards, mais des connards que j'aime bien. Merci pour cette année et demi en votre compagnie, et restez comme vous êtes, bande de pédés.
Au revoir, et j'espère à très bientôt
***FIN***