["jeu littéraire"] Allusions lourdes...
Modérateur : Staff FM
- Jerzy
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- Et ça vous dirait pas par hasard de faire un plan pizza télé un de ces soir, je sais que t'aimes bien Desperate Housewives et autres trucs pour gonzesse, ça peut le faire non ?
- Allez dégage de lÃ
- Non mais attend ..."
J'entends la porte claquer, puis Igor tambouriner. Cynthia lui lâche un "dégage de là " et revient me voir.
- T'as dormi longtemps, tu veux prendre une douche ?
- Euh, ouais je veux bien
- Viens la salle de bain est par là .
Elle me sort une serviette et du gel douche rexona pour peaux sensibles et me dit que je ne suis pas obligé de me presser. Avant de fermer la porte, elle m'avertit que le verrou de la pièce ne ferme plus, avec un petit sourire coquin. Je me deshabille en surveillant la porte, car je sais qu'à tout moment, une jeune demoiselle peut entrer comme une furie, et se ruer sur ma grosse ...
- Aznarise
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Mon sang ne fait qu'un tour. Personne ne me traite de lopette, personne. Je surgis devant lui telle Messi devant une défense, crochet droit, crochet gauche, l'homme est au sol. Alors que j'allais me ruer sur lui, un pied rencontra mes partis intimes. Recrocvillé sur moi, l'homme à le temps de se relever, de m'en foutre une dans l'arcade, à mon tour de me retrouver au sol. Il me chope par ma veste et me dit droit dans les yeux, "tu sais ce que je fais aux danseuses comme toi ?, je l'ai so ...
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Le type ne rigolait pas, mais ayant senti ma valseuse redescendre et me sentant de nouveau d'attaque, je lui saute au cou, il esquive agilement et je m'aplatit sur l'asphalte de tout mon long. A peine ais-je eu le temps de me retourner, que j'esquive de justesse sa semelle qui visait mes côtes. J'enchaîne par une balayette pouvant prétendre au top 10 du best of de tacles de Jurietti, me jette sur lui et parvient enfin à l'immobiliser au sol.
Commençant à sentir que les emmerdes s'accumulaient à vitesse grand V, je décide de la jouer diplomate.
-"Bon écoute mon gars. On est parti sur de mauvaises bases."
-"Lâche-moi"
-"Je te lâcherai quand tu sera calmé et qu'on se sera expliqué. Je suis en tort pour l'accident, j'ai des soucis personnels et je reconnais avoir griller cette foutue priorité. Je pense qu'entre adultes responsables, on doit pouvoir s'entendre."
-" C'est à dire?"
-" Je m'engage à payer grassement les réparations de ta voiture, voire de t'aider à en financer une neuve, parce qu'on devrait pas avoir le droit de rouler dans des antiquités pareilles" continuais-je en rigolant amicalement.
-"Cette voiture fonctionnait très bien avant ce carton" répondit-il après que je l'ai laché.
-"Je plaisante, je plaisante. Alors, que pensez-vous de ma proposition?"
-"C'est assez tentant mais ce n'est pas encore assez"
Le malin est rude en affaires. Remarque, puisqu'il m'a reconnu, il sait que je n'ai pas trop de difficultés financières"
-"Ah! Et que vous faudrait-il de plus pour être satisfait?
-"Je sais pas trop... P'tet qu'un abonnement annuel en tribune Nord de Jules Deschasaux me plairait bien" balança-t-il en souriant.
-"Hé, hé, vous avez tout compris vous. Bon, va pour les réparations de la tire et l'abonnement et on oublie l'incident. Je vous fait confiance pour ne pas ressortir cette histoire à des flics ou des journalistes. Je saurais me montrer généreux, je vous l'assure."
-"Vous inquiétez pas Johnny. Je peux vous appeler Johnny hein? Les journalistes et les condés, c'est vraiment les pires raclures qui soient. Si vous tenez votre promesse, je la ferme".
-"Ok. Vous êtes bien sage l'ami. Tenez, je vous file mon numéro et vous pourrez m'appeler ce soir. Là faut vraiment que je file, je dois être à l'entraînement dans 5 minutes. Votre voiture est en état de rouler?
-"Oui, oui, c'était pas non plus le carton du siècle."
-"Bon, ben merci encore de votre compréhension. Désolé pour la voiture et la bagarre, je suis un peu sur les nerfs ces temps-ci".
-"Pas de souci, c'est pas tous les jours qu'on a l'occasion de se mettre sur la gueule avec Johnny Attetrique. On remet ça quand vous voulez."
- Ça va aller, faut que j'arrête un peu les conneries moi! Bon je file, appelez-moi ce soir et encore désolé".
Je me précipite vers ma voiture et failli tourner de l'œil en voyant mon aile droite enfoncée... Rhhha mon bijou... Pas grave, faut que je me speede, je suis à la bourre et si je veux jouer le prochain match, j'ai intérêt à pas trop jouer au con, tout Johnny Attetrique que je sois.
J'arrive 10 minutes plus tard au terrain d'entraînement, me change en 3 minutes chrono et par rejoindre les autres qui font des tours de terrain.
Je m'approche de l'entraîneur qui m'avait vu arriver et m'excuse dans tous les sens. "Ça se reproduira plus, tout ça, tout ça". Il me fit remarquer que mon visage était endolori et je faisais passer ça sur le compte de l'accident de voiture.
Plus inquiet pour moi qu'énervé par mon retard, il m'envoie immédiatement voir Ingrid, notre jeune et jolie médecin. Je m'exécute sans demander mon reste. Ça faisait longtemps que j'espèrerai aller à l'infirmerie juste pour me faire ausculter par cette jeune ch.....
- Aznarise
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Après avoir échangé quelque banalités elle me pria de m'assoir sur le table d'auscultation et d'enlever mon pull et mon t-shirt. Puis elle me demanda ce qui m'amenait. Je lui ai répondu que je venais d'avoir un petit accident de voiture et que ça m'avait un peu secoué. Bien sûr, je tût l'épisode peu glorieux de la bagarre. Malheureusement, elle remarqua au premier coup d'oeil mes contusions en formes de poings au niveau de côtes. Elle aurait pu m'en tenir rigueur et ne prendre pour un gros macho bagarreur et menteur mais ça sembla l'amuser. Elle passa alors dans mon dos, appuya son stétoscope glacée sur diverses partie du haut de mon dos en me demandant de tousser à chaque fois. Elle me dit qu'il lui semblait que tout allait bien mais qu'elle voulait faire encore une petite vérification de routine. Sur ces mots, elle passa ses mains un peu en dessous de mes bras puis les descendit le long de mes hanches. Arrivés en bas de celles-ci, elle avança ses mains sur l'intérieur de mes cuisses et me dit alors: "Oh, mais c'est qu'on dirait que j'en tient une belle...
-"Oui, effectivement, depuis l'âge de 6 ans. Mais pour en arriver là , il y a eu pas mal de temps de footing et de musculation" dis-je, avec un grand sourire.
Vraiment pas mal cette fille, donc pourquoi pas se valoriser. Après tout, avec ma femme c'est fini, depuis peu certes, mais autant en profité. Alors qu'elle s'occupe de mes blessures aux visages, en y mettant de la pomade au nom imprononcable, je n'arrive plus à la lacher du regard. Mais elle, elle ne s'occupe que de mes blessures, j'ai l'impression que pour elle je ne suis qu'un simple patient.
Mais après avoir gaché ma chance hier, je ne peux pas laisser passer celle là . Une si jolie femme, tout les hommes en rêvraient. C'est décidé, je tente ma chance. Je l'attrape par la taille, et lui donne un baiser langoureux. Malheureusement, j'avais bien vu. Elle me repousse, je me prends le coin du lit, où j'étais assis au préalable, dans les côtes, ce qui me fait tomber directement au sol. C'est alors qu'elle me montre de son doigt menaçant en hurlant "Non mais tu te prends pour qui espèce de joueur du dimanche, tu crois que je vais me laisser toucher par un mec comme toi, en plus d'après tes coéquipiers, tu as une petite ...
- Verchain
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