" Plymouth Roadrunna' " - Ep 06 ! New
Modérateur : Staff FM
Vol 407, tarmac de l'aéroport international Heathrow.
« Ici votre commandant de bord. Nous sommes le 28 août 2003, il est 7h24 heure locale, la température extérieure est de 14 degrés, nous arrivons à l’aéroport international d’Heathrow, Londres. La compagnie espère que vous avez passés un bon voyage. Nous vous remercions et vous demandons d’attendre l’arrêt complet de l’avion avant de vous décrocher de vos sièges … »
« Londres … »
Que pouvais-je faire ici ? Allais-je survivre en terres anglaises. D’une, je haïssais ces putains de « rosbif » et leurs airs snob, et de deux, allais-je m’intégrer ?
Je ne pus qu’esquisser un sourire mi-figue, mi-raisin … je n’avais même pas encore touché le sol britannique que je parlais déjà d’intégration à la faune locale. Mon esprit était bel et bien chamboulé. Je pensais être là pour me cacher en attendant que l’affaire s’étouffe et s’oublie en Californie, mais qu’en savais-je réellement. L’histoire était fraîche, trop fraîche, l’opinion publique devait être choquée sur la côte Ouest américaine. Une mère et son gosse d’à peine une dizaine d’année renversés par un chauffard en plein rodéo urbain, qui avait prit la fuite. Comment pouvoir prétendre à la clémence ? Ce genre d’accident était considéré comme un homicide volontaire.
De plus, en tant qu’ancien Marines, je devais avoir le NCIS aux fesses. Fallait espérer que je les avais pris de vitesse. Loin du show télévisé de grande audience éponyme, le NCIS était réputé pour être un nid de véritables enflures ne lâchant rien. Enfin bon, de l’autre côté de l’Atlantique, que pouvaient-ils faire ?
Moi, Robert Bruce Cooper, 25 ans, un mètre quatre vingt-six pour quatre vingt dix kilos, Sergent chez les Marines, aujourd’hui « retraité » depuis à peine six mois suite à mon retour d’Irak et la fin de mon contrat, j’étais devenu un criminel. Il y a encore une semaine j’étais adulé dans le milieu de la course clandestine à San Diego, CA, aujourd’hui, je suis dans un bordel sans nom.
La passerelle s’amarrait enfin à la porte de l’avion qui s’ouvrît, laissant les passagers descendre. Suivant en troupeau les couloirs, la marche s’arrêta soudainement.
« Afin de faciliter votre arrivée et gagner du temps, pensez à préparer vos passeports, Merci. » annonça une voix dans un mégaphone.
Et merde ! J’avais oublié cette putain de douane ! Faut faire mine de rien, après tout, je voyais mal une histoire comme celle-ci traverser un continent puis un océan.
Les gens commençaient à faire la queue. Une demi-heure environ passa lorsque vînt mon tour.
« Passeport s’il vous plaît. »
Je tendais alors mon passeport à la sévère femme d’une cinquantaine d’année. Elle le prit sans douceur et l’ouvrît, lisant :
« Mr Robert B. Cooper. Citoyen américain »
Elle leva les yeux vers moi, regardant par-dessus ses lunettes.
« Raison de votre arrivée sur le territoire britannique ? »
« Tourisme ».
« Vous n’avez rien à déclarer ? »
« Non. »
« Et bien c’est ce que nous allons voir, Mr Cooper. » lâcha une voix derrière moi.
Je me retournais instantanément et me retrouvais encerclé par deux homme en costume et cravate. L’un souleva légèrement sa veste pour montrer son holster et sa plaque, que je n’eus pas le temps d’identifier. D’un signe de tête, l’autre me lança tout bas :
« Veuillez nous suivre, sans faire d’histoire, Mr Cooper. »
Nul autre choix qu’obtempérer. Faire des émules en plein Heathrow, de bon matin, mieux ne valait pas faire le malin, l’endroit était bourré de policemen. L’un des agents prit mon passeport et les deux se placèrent à un devant, un derrière. Nous nous engageâmes alors dans les boyaux du terminal 4. Nous arrivâmes au bout de quelques minutes dans un petit local, sans fenêtre, où l’on me fît entrer. Le dernier ferma la porte. Une table et une chaise étaient disposées dans le centre de la petite salle. Sans un mot, on me plaqua sans douceur contre le mur puis je me fis fouiller, sortant mon portefeuille et mes Ray Ban, derniers objets en ma possession. Je dû ensuite m’asseoir sur la chaise.
Le silence se fît pendant deux minutes, quand les deux hommes se présentèrent.
« Je suis le Lieutenant MacDouglas et mon coéquipier, ici présent est le lieutenant Bannockburn. Nous sommes du MI-5. »
C’était bien ma veine. Fallait que je tombe sur les fédéraux à l’anglaise.
« Vous vous demandez sûrement ce que nous vous voulons, Mr Cooper. »
« J’aimerais bien savoir, ouai … »
« Ha ha ! Vous avez entendu ça, Bannockburn ? Il ne sait pas ce qu’on lui reproche … »
Le dénommé Bannockburn retira tranquillement sa veste puis retroussa les manches de sa chemise. Il se plaça devant moi et me demanda d’une voix rauque :
« Tu es sûr ? »
Je répondis « oui » de la tête.
Le coup partît sans prévenir bien que je m’y attendais. Et hop, on tabaaasse. Je pris une droite dans la face, puis une autre dans le plexus, me coupant la respiration. Je ne bronchais néanmoins pas.
« T’as vraiment pas de bol … tu sais qui a prit ton affaire en charge au NCIS ? »
« N-non … » parvenais-je à articuler.
« Ha ha ! Le capitaine Kirk. »
Bordel ! Larry Kirk. Ancien Marines aux multiples décorations. Il était aujourd’hui au NCIS. Une réputation de fieffé salaud, il était craint, très craint. Le genre de gars ne s’arrêtant pas aux lois internationales pour remplir son devoir.
« Lui et moi sommes de vieux amis. On a fait la première guerre du golfe ensemble. On se rend quelques services de temps à autres. Et toi, tu es un gros service que je lui rends. »
« Va te faire foutre, pauvre connard de rosbif ! » le coupais-je.
Sans prévenir, Bannockburn me frappa encore plus violemment. Ne m’y attendant pas, je fus mis à bas de ma chaise, joue contre carrelage.
« Ne fais pas ton homme avec nous, mon garçon. » lâcha MacDouglas.
« Oui, on va te faire extrader jusqu’à L.A. » reprît Bannockburn.
« Vous … vous n’a-n’avez pas le droit ! »
« Mais si, tu verras, ce sera comme si tu n’avais jamais quitté le sol californien. »
Putain, tout ça pour rien ! Et en me faisant tabasser en plus … bande de putes.
Toujours visage contre sol. Je voyais Bannockburn face à moi, MacDouglas en retrait, prenant son cellulaire, il appela.
« Larry ?! C’est moi … Oui, on l’a … on lui met quelques avoines, histoire de le sonner un peu, ça te dérange pas, hein ?! … »
La brute, dans un sourire, m’attrapa de ses deux mains de part et d’autre de mon col, me soulevant lentement. L’occasion ne se représenterait plus. D’un geste vif et sûr, j’enlevais la pression du holster et saisit son Beretta 92. Reprenant appui de mes deux pieds, je mis mon coude en plein dans le nez de Bannockburn, sentant son appendice nasale se casser sous la force du coup soudain. Il me lâcha, reculant en titubant. J’armais d’un geste précis le pistolet.
« PUTAIN ! » s’exclama MacDouglas, lâchant son cellulaire et empoignant son arme sous son veston d’un geste vif. Il dégaina mais pas assez rapidement, je lui tirais de sang-froid une balle à l’épaule tenant son pistolet. Il fût propulsé contre le mur avec violence. Sans plus attendre, je shootais du pied dans son arme, la lui mettant hors de portée. Je saisis de mes effets personnels sur la table. Le cellulaire, quant à lui était encore en communication par terre. Je le ramassais..
« Allo ?! »
« Putain, MacDouglas, j’ai entendu un coup de feu ! Qu’est ce qu’il s’est passé ?! JE LE VEUX VIVANT ! »
« C’est pas MacDouglas … »
« Mais … putain … Attends- … Cooper ? »
« Oubliez-moi, Kirk. Je ne mettrais plus les pieds sur le sol américain. »
« Et un Scotch pour monsieur ? »
« Je ne rigole pas. »
« Moi non plus, Robert, j’en fais une affaire personnelle. »
« Adieu, Kirk. »
Je raccrochais brusquement.
Un cri de rage derrière moi, Bannockburn me chargeait avec la puissance d’un footballeur américain. Je pus me retourner mais je fus plaqué violement contre le mur. Je le repoussais tant bien que mal, mais il s’accrochait. Sur un réflexe, je lui décochais un coup de genou en plein dans les bourses. Lui se recula instantanément, plié en deux. Je l’assommais alors d’un coup de crosse de Beretta sur la nuque apparente, le tout d’un geste expert. Bannockburn s’écroula sur le sol, inanimé.
« Tu-tu pourras pas t’enfuir … Cooper … Tu crois que le coup de feu … ne s’est pas entendu ? »
« Bien sûr qu’il n’a pas été entendu. C’est une pièce assonorisé pour les interrogatoires musclés. Ne me prends pas pour un con. »
Je mis alors mes Ray Ban, pour cacher le cocard que m’avais collé le nouvel eunuque. Je laissais l’arme avec laquelle j’avais tiré sur le lieutenant MacDouglas, sur la table, puis sortît.
J’avais rejoins les portes de l’aéroport sans encombre et fût ébloui par le pourtant pale soleil anglais. Je humais l’air un instant puis montait rapidement dans le premier taxi à portée.
Commençons par un peu de tourisme.
« Buckingham Palace. » annonçais-je au chauffeur.
« À vos ordres, m’sieur ! »
Si j’étais parti du sol américain avec l’impression d’être dans une merde noire … alors que penser de mon arrivée à Londres. Je n’étais pas tiré d’affaire. Il fallait que je me fasse oublier et la mégalopole londonienne était un lieu idéal pour ça. Première étape pour moi, trouver des faux papiers, ça me faciliterais la vie. Il me restait 2000 $ US sur moi et devait survivre clandestinement dans une ville que je ne connaissais pas.
- bilou38
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Et d'ailleurs, y a un truc que j'ai pas bien compris et c'est peut être volontaire, Larry Kirk te tabasse pour une affaire personnelle ou est ce du à l'accident en Californie?
Aussi, je t'en supplie Takéo , ne poste pas chaque épisode tous les jours comme pour tes précédentes stories, j'arriverais pas à suivre, un par semaine, c'est bien, non?
Tu verras bien pour Kirk Je veux pas révéler le suspens, so ... wait & see !
Le début va paraître plutôt vite. Faut pas battre le fer tant qu'il est chaud. Histoire de poser les bases de l'histoire, je vais poser ça plutôt rapidement. Après je prévois une fréquence de un à deux épisode par semaine, voire moins, voire plus.
Venant d'un type dont la story est pour moi des meilleurs présente sur le forum, je prends ça comme un immense compliment ... merci du fond du cœur, Bilou.
- Misaki
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Ouais ou deux encore ça ira.bilou38 a écrit :Aussi, je t'en supplie Takéo , ne poste pas chaque épisode tous les jours comme pour tes précédentes stories, j'arriverais pas à suivre, un par semaine, c'est bien, non?
En tout cas, un début sur les chapeaux de roue.
2003 - Ce qui veut dire 6 ans avant que tu arrives à la tête d'un club. Il peut s'en passer des choses en si peu de temps.
J'avais aimé l'histoire de Queen Of South, mais je crois que celle-là démarre mieux.
- Jérémibl
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Dans chaque storie, on met un investissement personnel, une part de soi même, des idées, des passions. Ici, il y a de la voiture et de la States-attitude. Cette histoire de voiture au début ne m'a guère convaincu. Je me suis dit "Bordel, la storie du Jacky". Au fur et à mesure de l'épisode, j'ai kiffé. Et bien.Goreau08 a écrit :Ah bon? Toi t'aimes les voitures? Sérieux?
Ton second épisode est très très bon également. Pas de précipitation, beaucoup de précision, un début de scénario très accrocheur. Le personnage parait un peu barré, il n'a pas froid aux yeux. Je m'attendais à quelques remords déjà présents lors de l'épisode précédent, peut-être plus tard. Cela reste intéressant, Goreau et Bilou ont mis le doigt sur l'aspect psychologique de Cooper qui peut en ressortir, de la torture mentale. Chouette.
Takeo, autant je n'avais pas été plus enthousiasmé que ça par ce que tu avais pondu en Écosse, que là , j'adore déjà .
J'vais défaillir !
Merci à toi Jérèm', ça va droit au cœur aussi
Concernant la story en Écosse, c'est un peu pour ça que je l'ai arrêté. Il fallait du spectaculaire et l'intro du geek, c'était trop quotidien, pour vous, lecteurs avides de nouvelles choses à sensations forte.
L'intro de cette nouvelle story, risquera d'être un peu longue, puisqu'un amerloque qui n'y connaît rien en foot, commencer à entrainer de suite, ce serait du n'importe quoi. Alors vous allez avoir le droit à l'intégration à Londres.
- Dr ZOULOU
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Mais parfois je me laisse charmer par les voitures d'antan..Une vieille 4L, autocollée de stickers 4L trophy, une vieille deuch un peu graphée, une vieille Cocc' mexiquaine, ou un vieux combi VW qui me rend nostalgique d'une epoque que je n'ai pas connu...
Et j'aime ces voitures de tarés qui peuplent les vieilles series americaines... La "Général Lee" des frêres Duke, celle de Strarsky, les engins de Death Proof, La Cadillac de Clint Eastwood, celle de Gran Torino est magnifique aussi...
Quand je lis les vieilles bd de mon père, je savoure les bagnoles de stock Car de Michel Vaillant, bien plus bandantes que les F1 actuelles. Et c'est tout naturellement que j'ai accroché sur celle qui apparait dans la photo qui sert de signature.
Je ne connais pas le modèle, ni ce qu'il y a dessous mais j'aime.
Si je gagne au loto, au lieu de courir à la concession m'acheter un 4x4 allemand, je me fais importer une bagnole comme ça des States...Clair.
bOn je passe au récit en lui même. J'ai eu un peu le même sentiment que Jerem, j me suis vu sur un Fast and Furious..."Jme la raconte avec mon GROS moteur de ma GROSSE voiture qui fait un GROS bruit"..Mouais.
Mais j'ai accroché le récit, le changement de rythme de narration, trés lent au début, comme pour faire monter la pression et tout s'accelere, la vitesse, les mots, les faits, les sensations, les réactions, les prises de decisions...Bravo mÔsieur.
Le second est arivé vite, avec un rythme tout aussi acceleré, où il n'y a pas de temps faible...Avec certaine questions à la clef:
Je ne sais pas si la mégalopaule anglaise est si differente de L.A.. J'ai tiqué un peu. Fuir les USA parce qu'on a deconné, je comprends. Mais à peine arrivé à Londres, sitôt repéré, Cooper pense se fondre dans une ville qu'il ne connait pas.Il fallait que je me fasse oublier et la mégalopole londonienne était un lieu idéal pour ça
Les deux situations et les réactions me semblent contraire.
Pays que je connais+Pas encore repéré= je veux me barrer.
Pays que je connais+identité reperéee= je veux rester
Mais ce n'est pas mechant.
J'ai aimé enormement de petit details comme:
J'ai d'abord cru à une blaque, avec un mauvais sens de la repartie de l'anglais sur son homologue americain, comme il aurait pu dire John Wayne ou Wyatt Earp...Mais je me suis fait avoir, car c'était le vrai nom du type. Rien à voir avec Star Trek« T’as vraiment pas de bol … tu sais qui a prit ton affaire en charge au NCIS ? »
« N-non … » parvenais-je à articuler.
« Ha ha ! Le capitaine Kirk. »
Du coup jme suis renseigné sur les noms et j'ai été surpris sur la signification de Bannockburn, une bataille où les Ecossais ont féssé les Anglais...
Au final, je reviendrai sur ce qu'a dit Biloute, il semble y avoir un lien entre Kirk et Cooper....
Sur le coup la phrase sur le Scoth me parraissait completement hors de propos...Je ne comprends pas ce qu'il y a derrière sauf si c'est une allusion à un passé commun aux deux personnage. De plus, ce cher Capitaine appelle Cooper par son prénom...Mais je me plante peut être« C’est pas MacDouglas … »
« Mais … putain … Attends- … Cooper ? »
« Oubliez-moi, Kirk. Je ne mettrais plus les pieds sur le sol américain. »
« Et un Scotch pour monsieur ? »
« Je ne rigole pas. »
« Moi non plus, Robert, j’en fais une affaire personnelle. »
« Adieu, Kirk. »
Bref, il me semble que tu avais pondu un truc qui m'avait plus sur des Ykuzas en Europe de l'Est. Et j'aime ce qui se passe ici.
- Jérémibl
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- Enregistré le : mar. 13 janv. 2009 9:34
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Ca m'a surpris d'ailleurs, de voir les deux noms McDouglas et Bannockbirn collés. Deux Écossais dans la crème de la police Britannique...Par contre, je scotche toujours autant sur le Scotch.Dr ZOULOU a écrit :Du coup jme suis renseigné sur les noms et j'ai été surpris sur la signification de Bannockburn, une bataille où les Ecossais ont féssé les Anglais...
Merci pour ton analyse ultra détaillée Dr Zoulou
Il ne faut pas confondre, néanmoins, les passionnés de voitures qui ont du mérite aux Jacky/kékés avec leur Vectra et leur Clio 1.9D toute kitée chez " delamortquitue " avec des jantes 19', des bas de caisses finis à la truelle et un aileron " table de pic nic ".
Non, moi j'aime l'esprit d'origine ou les style très sobre. Car oui, j'aime une certaine forme de tuning, comme le German style ( pas de kit carrosserie, voiture posée par terre, jantes à déport et souvent un moteur revu voire changé. Le tout dans un esprit très sobre. ), le JDM, Japan Domestic Market ( Qui consiste à rendre sa japonaise d'origine au niveau carrosserie, exceptée deux ou trois détails visibles ( Jantes en 15', pneu plat, rabaissement ), mais surtout tous dans l'optimisation moteur. )
Mais j'adore les Muscle Car à l'américaine. Cette Plymouth Roadrunner 71' V8 7.2L HEMI a été développée à l'origine pour la NASCAR, elle arborait alors une couleur unis bleue ciel matte et venait remplacer la Plymouth Superbird. Vous connaissez pas ? Mais si : vous savez :
Replaçant celle ci par celle là :
À l'époque, elle est mise là pour concurrencer l'hégémonie de la toute come-backée des 'ricaines méconnues : la Ford Gran Torino.
Aujourd'hui, une Plymouth Roadrunner '71 V8 7.2L HEMI s'achète pour une broutille tels que 165 000 pauvres dollars. US.
Vous vous dîtes que c'est cher ? Mais pour une Shelby Mustang GT500, oui oui, Eleonore dans 60 secondes chrono ... la dernière vendue, il y a quelques mois, à été vendue en Europe pour la bagatelle d'1.5M ... de Livres sterling.
Pour info, la voiture de Grindhouse DeathProof est une Chevrolet Nova, celle qui fût considérée comme la première des Muscles Cars début 60's.
Pour te dire que des bijous comme ceux-là ... ça a une valeur.
C'est vrai que j'ai saucé un peu F'n'F, mais l'esprit est le même, outre les kékés tuning diésoule/gazoule d'aujourd'hui. Mais bon ... la Toyota Supra reste l'une des japonaises de série les plus puissantes et au plus fort potentiel d'optimisation moteur. Car ce 2JZ-GTE, c'est un 3000 cm3 bi-turbo de 330ch d'origine. J'aurais pu faire sur la Mazda Rx-7 FD3S, mais je serais parti dans des explications sur le moteur à Rotor du Dr Wankel qu'à mon avis peu ou personne n'aurait compris.
Perso', je n'aime pas les BMW, sauf les anciennes, jusqu'Ã la version E30
Bon, fin de la paranthèse dédiées au merveilleux monde qu'est celui des 4 roues.
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Pour la phrase qui te fait tiquer, Zoulou ... il faut savoir une chose. As-tu vu la date pour un début de partie avec FM2010 ? Profil bas. Très bas pour notre héros.
Bon pour le capitaine Kirk, c'est vraiment pas fait exprès. J'ai toujours détesté Star Trek ... :s
Pour un éventuel lien entre Kirk et Cooper ... Wait & see.
Et enfin ... chapeau bas pour les lecteurs qui ont vus ça. Bannockburn est un bataille qui eût lieu en 1314, non loin du Pont de Stirling en 1297. Bref, le représentant écossais était le Roi nouvellement choisi par les nobles écossais. Robert the Bruce.
Robert Bruce Cooper.
La story sur les Yakusa était en Autriche. Plus axé sur les images et le côté comique/déjanté. Passée à la trappe avec l'arrivée de FM2009, puisqu'elle n'était pas finie.
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